Pas de primaires sans elles, par Natacha Quester-Séméon #JamaisSansElles
Nous pourrons faire tous les débats possibles et imaginables sur la place des femmes en politique, mais si les hiérarchies des partis ne les investissent pas, les portes resteront totalement fermées jusqu’en 2022. Et nous, électeurs, quand nous découvrirons le visage des candidats sur les affichages électoraux, il sera trop tard pour déplorer l’absence de femmes: l’immobilisme aura encore une fois gagné. Tribune parue dans le Huffington Post.